Festival du Beau 21 janvier 2023
- G MARTIN
- 15 déc. 2022
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 24 janv. 2023
Geraldine participe , par une séquence de danse au Festival du beau en Janvier 23 (Le 21 janvier à 14 h) avec un accompagnement au piano du musicien Grégoire LINET .
Geraldine , pourquoi participer au FESTIVAL DU bEAU ,
https://we.tl/t-iBkvVv1KnC
14 heures , Géraldine accompagne les visiteurs de l'exposition en laissant les tableaux l'inspirer et danse pour magnifier les œuvres.
Danseuse, chorégraphe, issue du Conservatoire , rapidement elle découvre les chorégraphes Jiri Kylian, Mats Ek et se retrouve dans leurs amplitudes. Déjà, au conservatoire, elle intervient avec Prejlocaj dans “Paysage après la bataille” où elle dansait le tango. A travers la créativité de cet éminent chorégraphe, Géraldine Hilaire découvre combien il dénonce l’absurdité de la guerre et du consumérisme.
Spectatrice ou partenaire de ces géants, elle trouve une authentique indépendance esthétique. Leur rigueur invite à la liberté et à l’audace. Géraldine Hilaire aime singulièrement cette fabuleuse émancipation où le danseur s’assume lui-même. Plus tard , Pina Bausch devient sa deuxième révélation.
Geraldine Hilaire trouve-là ses propres formules de la lumière. Son pressentiment est juste, son geste est précis, son choc est dermique. Sur "L’ Amour médecin" de Molière, (mise en scène de Rolland de France) où les médecins apparaissent comme membres d'une secte, elle écrit sa première chorégraphie,
le mystère et le talent décident en elle avec évidence. Puis, le spectacle Réconciliation sonne la rencontre avec le pianiste Grégoire Linais. De cette belle constellation, est magnifié un chemin vers l’Amour et dans ses pas un hymne à la poésie française, la danse et la musique. Puis vient son spectacle "Palmyre" en 2021.
Elle règle en 2022 la chorégraphie de la pièce les "Deux Sœurs" de Stefan Zweig par Franck Séguy, mise en scène par Marguerite Kloeckner et Sophie Deforge actuellement en tournée.
Invitée cette année au Festival du Beau , elle donne toute sa dimension en se laissant inspirer par les œuvres présentées au public et avec qui elle entre en communion dans un mouvement d'inspiration; cédant naturellement à l'improvisation, marque essentielle du divin s'incarnant dans l'artiste aussi bien dans la peinture que dans mouvement qui conduisent , par un jeu naturel en écho et reflet à la transcendance.
L'artiste immobile comme en mouvement n'est selon Géraldine que l'instrument tourné vers le ciel et le vecteur du message divin. La danseuse s'efface pour se mettre au service du message au Monde et devient la rosace puissamment illuminée et qui traduit pour l'Eglise par le kaléidoscope des vitraux la subtilité nuancée du silence dont elle devient vecteur essentiel dans l'expression du Beau .
Credit video :https://francoisregissalefran.com/
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